Le  19 décembre 2025
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La Newsletter de Matin Première La Newsletter de Matin Première
Rien d'artificiel !
Chaque matin, pour nous, c’est une routine. L’équipe de Matin Première se retrouve dans la salle de rédac ou dans le studio et c’est parti. On se croise, on se salue et même si le temps est compté, on trouve le temps pour échanger. Se voir, se parler, c’est essentiel pour souder l’équipe.

Par contre on ne sait rien de vous. Vous qui nous regardez sur Auvio ou sur la Trois, vous qui nous écoutez dans la cuisine, la salle de bain, la voiture ou à travers les écouteurs de votre smartphone…Vous, pour qui nous faisons cette émission. Vous, sans qui tout cela n’aurait guère de sens. Vous, le public dont nous sommes finalement au service. Ben oui, service public, après tout c’est cela que  ça veut dire. 

Eh bien ce matin, nous avons eu la chance de vous rencontrer. Enfin quand je dis "vous", je devrais écrire "quelques-uns d’entre vous". Une dizaine parmi tant d’autres mais qui étaient visiblement heureux d’être là. Heureux de voir comment cela se passait, contents de parler à François, Sophie, Bertrand, Diane, Nicolas, Thomas, Sarah etc. Vous êtes venus pour nous rencontrer, pour échanger, pour nous parler. Pour comprendre pourquoi on choisissait un sujet plutôt qu’un autre, pour nous demander comment on gérait la langue de bois, pour vous inquiéter de l’arrivée de fausses infos fabriquées de toutes pièces par l’intelligence artificielle et savoir comment on se préparait à résister à tout cela. 

Face à de tels défis, on n’a pas une recette miracle… Mais en vous rencontrant, je me suis dit qu’on avait peut-être une botte secrète. Parce qu’on s’est vus en vrai, on s’est parlé pour de bon et ça, aucune IA ne pourra jamais le faire. Et surtout, en vous parlant, j’ai compris que vous nous faisiez confiance. Ce qui est sans doute le plus beau des cadeaux de Noël. Qui s’accompagne pour nous d’un devoir : cette confiance, il nous faut l’entretenir. Au quotidien. Mais après vous avoir rencontrés, on est gonflés à bloc pour y parvenir. Alors merci d’être venus, merci pour ces échanges et merci à tous les autres de votre fidélité. 

 
L'édito de Nicolas Vandenschrick L'édito de Nicolas Vandenschrick
La phrase qui claque
La phrase qui claque : Ariane Estenne La phrase qui claque : Ariane Estenne
 
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Le gif qui en dit long
Maxime Chattam pour son nouveau livre "8,2 secondes" 
Des bulles mais pas forcément les mêmes ingrédients🍾
À l'approche des fêtes, on est nombreux à le regretter : pourquoi le champagne est-il si cher et pourquoi de telles différences de prix entre les bouteilles ? Déjà, il y a la matière première, le raisin. Produire une bouteille de 75 centilitres nécessite en moyenne 1,2 kilo de raisins. Or, en Champagne, le raisin figure parmi les plus chers au monde. Son prix oscille entre 8 et 10 euros le kilo. Leur prix varie selon le classement des parcelles — Grand Cru, Premier Cru ou Cru — et selon les pratiques agricoles. Résultat, le coût final - juste pour ce raisin - tourne autour de 12 euros, bien davantage que dans la plupart des autres vins. Ensuite il y a la bouteille, le muselet et le bouchon, les vendanges manuelles pour préserver l'intégrité des grappes, les différentes manipulations... À ce stade, avant même le vieillissement, on atteint déjà 14,50 €  par bouteille. Diane Burghelle-Vernet décortiquait toutes les étapes et leur coût 👇
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On se le remet dans les oreilles
Et nos auditeurs dans tout ça ?
Et nos auditeurs dans tout ça ?
Pour célébrer la dernière émission de 2025 - et comme vous le lisiez dans l'édito - Matin Première accueillait certains et certaines d'entre vous dans son studio, pour en visiter les coulisses, en palper l'ambiance et interroger les journalistes et chef éditoriaux sur la construction de l'émission, la ligne éditoriale, les décisions prises tous les jours pour construire une émission comme Matin Première. On pouvait les entendre dès 7h20 et tout particulièrement entre 8h30 et 9h 👇 
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Le shaker du meilleur de la semaine
90 milliards débloqués pour l’Ukraine
90 milliards débloqués pour l’Ukraine : la crédibilité et le poids de l’Europe "s’en trouvent renforcés", affirme Prévot
Au terme d’un Conseil européen crucial, les 27 États membres, ou plutôt 24, débloquent 90 milliards d’euros pour l’Ukraine, sans recours aux avoirs russes. C’est donc finalement via un emprunt commun que les Européens ont décidé de financer l’effort de guerre de l’Ukraine pendant au moins deux ans. "L'Ukraine a les moyens financiers qu'elle espérait, l'Union européenne a une solution et la Belgique a pu être entendue, a pu se faire aussi respecter" se réjouit Maxime Prévot, ministre des Affaires étrangères. 

Pour le vice-Premier ministre, l’option des avoirs russes gelés, bien qu’a priori séduisante – puisqu’elle donne le sentiment de punir la Russie en captant ses propres avoirs souverains basés à Bruxelles -, représentait un danger "gigantesque". "Jamais une telle opération de confiscation par un biais ou par un autre des avoirs souverains d’un État n’a pu être mise en œuvre. Même durant la Deuxième Guerre mondiale. Il y a le droit international qui empêche ça", rapporte Maxime Prévot. La Belgique en a donc fait son fer de lance. Et à force d’alerter, elle y est parvenue.
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